J’aime l’orée du jour naissant et le crépuscule évanoui, le levé du jour s’épanouit dans une parenthèse figée dans le temps, où tout s’apaise et s’efface dans l’insignifiance. L’aube, telle une scène de contemplation, m’enlace en douceur lors de mes pas sur une route déserte, car le monde sommeille encore, et à cet instant précieux, il m’appartient, libre de toute contradiction. Seules les cigales fredonnent leur chant, m’accompagnant fidèlement dans ma quête vers un horizon inconnu, tandis que le vent s’immisce dans le feuillage, emportant avec lui les parfums enchanteurs de la nature, qui, en cette aventure, donne vie à mon périple. Je suis là, plongé dans une béatitude parfaite, unissant mon âme à cette nature qui, l’espace d’un moment, me cède sa beauté en partage. C’est une offrande pure, une magie de l’existence, prodiguée gracieusement à mon être.
Aux doux instants du crépuscule, une symphonie de sensations m’envahit. Tel un écrivain qui achève un chapitre, je laisse derrière moi les événements du jour, pour m'emporter vers un univers inexploré. Le soleil décline, teintant l'horizon de nuances chaudes, et la lumière délicate caresse ma peau, m’enveloppant de son étreinte apaisante.
Ce n’est pas encore la pénombre, mais déjà, tout semble possible. Les paysages s’étendent à l’infini, et je me perds dans l’ombre naissante qui s’étire autour de moi. Les étoiles commencent à percer timidement le voile du ciel, telles des âmes éveillées, guidant mes pas vers l’obscurité bienveillante.
Puis viendra la nuit et elle a ses propres mystères comme le jour qui surviendra, laissant la place à un autre récit.
Dans nos actions, nous portons une part de responsabilité lorsque les choses ne se déroulent pas selon nos désirs. Si nous prenons le temps d'être sincères envers nous- mêmes, nous réalisons que notre façon de gérer les situations influence grandement leur dénouement. Ainsi, nous ne pouvons accuser autrui ou l'Univers quand cela ne se passe pas comme nous le souhaiterions.
Par exemple le fait de quitter tardivement la maison pour nous rendre quelque part et de nous plaindre de la lenteur de l'automobiliste qui roule comme un escargot. En partant à l'heure, nous serions arrivés sans difficulté à notre destination à temps. Dans cette situation, nous prenons conscience que notre tendance à procrastiner a contribué à notre retard, et que nous ne pouvons blâmer le conducteur pour nos propres choix. Si nous avions fait preuve de responsabilité en organisant notre temps de manière adéquate, nous aurions évité cette frustration inutile. Cela nous rappelle l'importance de notre contrôle sur nos démarches et de notre devoir d'assumer les conséquences de nos décisions.
Supposons maintenant que nous nous plaignions de ne pas avoir suffisamment de temps pour faire de l'exercice régulièrement. Si nous réfléchissons objectivement, nous réalisons que nous passons beaucoup de temps devant la télévision ou à naviguer sur les réseaux sociaux. Dans ce cas, nous ne pouvons blâmer les circonstances extérieures pour notre manque d'activité physique, car c'est nous qui choisissons comment nous occuper. Imaginons ensuite que nous ressentions de la frustration face à nos résultats scolaires, en accusant nos enseignants de ne pas nous avoir assez aidés. Encore une fois, si nous pouvons admettre que nous n'avons pas consacré suffisamment de temps à étudier et que nous avons procrastiné, il est inutile de penser à de meilleures notes. Dès lors, nous devons assumer la responsabilité de nos propres actions et reconnaître que nos succès sont le reflet de nos efforts.
Lorsque nous nous plaignons de ne pas avoir assez de sous pour réaliser nos projets, nous devons nous interroger sur nos dépenses. En faisant une analyse honnête, nous pourrions constater que nous gaspillons beaucoup d'argent dans des achats impulsifs et non essentiels. Dans ce cas, nous ne pouvons blâmer les circonstances économiques ou les autres pour notre résultat financier, car c'est nous qui prenons les décisions quant à la manière dont nous dilapidons celui-ci.
Ces exemples illustrent comment nous avons souvent notre part d’implication dans les situations qui ne se déroulent pas comme nous le souhaitons. En étant sincères envers nous-mêmes, nous pouvons reconnaître nos propres actions et assumer la responsabilité de nos choix.
L'épidémie de la Covid-19 est toujours d'actualité, bien que nous nous en soyons heureusement éloignés. On se demande pourquoi ce virus a été baptisé "Covid", qui est l'abréviation de "coronavirus disease" (maladie à coronavirus en français). En français, "Covid" est un nom féminin, d'où l'utilisation de "la" au lieu de "le". Néanmoins, il est important de noter que dans d'autres langues, comme l'anglais, on utilise "Covid" sans article défini, ce qui semble plus adapté. Cependant, sans article en français, cela n'aurait pas beaucoup de sens.
Il serait légitime d'être mécontent envers nos scientifiques et tous ceux qui ont pris des décisions dans l'urgence, mais peut-on sans aucun doute les blâmer ? Avec le recul, certaines langues se délient pour oser parler de la folie collective qui a poussé les gens à se précipiter sur le vaccin, certains par la force, d'autres par peur, et peu dans la certitude. Il est vrai que des choix ont été faits dans l’inquiétude, malgré l'utilité absolue de protéger la majorité de la population. Car ce virus n'a aucune logique, si ce n'est d'affecter une catégorie de gens principalement les personnes âgées, fragiles ou en mauvaise santé. Cependant, il a également touché des hommes et des femmes en apparence jeunes et en bonne santé, ce qui soulève des questions sur des facteurs génétiques qui pourraient être à l'origine de ces cas. Mais est-ce qu'il y a une véritable volonté de les étudier ?
Cette pandémie a été bénéfique pour l'industrie pharmaceutique et a coûté une fortune à la population, car nous sommes tous concernés en tant que contribuables dans nos pays de résidence. En Suisse, nos autorités ont commandé plus de vaccins qu'il n'en était nécessaire, et certains ont dû être jetés, à cause de leur date de péremption qui était dépassée.
Il est important de noter que la vaccination contre la Covid-19 a été largement recommandée par les experts de la santé du monde entier. Les vaccins ont été développés et non testés selon les règles en vigueur, dans le but de prévenir la propagation du virus et de réduire les risques de complications graves liées à la maladie. Les campagnes d’injection ont été mises en place pour protéger la population et atteindre l'immunité collective, ce qui permettrait de contrôler la prolifération de cette maladie.
Les décisions adoptées dans l'urgence peuvent parfois susciter des interrogations et des critiques, mais il est important de reconnaître les efforts déployés par les scientifiques, les autorités sanitaires et les gouvernements pour faire face à cette crise mondiale. Les mesures prises, y compris la recherche et le développement de vaccins, ont été basées sur les connaissances disponibles à ce moment-là. Toutefois, certains scientifiques n'ont pas été entendus, ils ont été traités de charlatans.
Il est également essentiel de souligner que la Covid-19 a eu un impact colossal sur la santé publique et l'économie mondiale. Les coûts associés à la gestion de la pandémie, y compris les dépenses liées aux vaccins, sont une réalité à laquelle de nombreux pays ont dû faire face. Cependant, il convient de noter que les investissements dans la prévention et le contrôle de la maladie peuvent être considérés comme une mesure indispensable pour sauvegarder la santé et le bien-être de la population.
Ces mesures revêtues dans l’urgence ont entraîné des répercussions pour certaines personnes qui souffrent de l’injection du dit vaccin et qui doivent se battre pour être reconnue comme des victimes de celui-ci.
En conclusion, la Covid-19 a été un défi mondial sans précédent, et les décisions prises dans le cadre de cette crise ont été guidées par la nécessité de protéger la santé publique, du moins c'est ce que l'on pourrait imaginer. La vaccination, bien que suscitant des débats et des interrogations, étant considéré comme un outil essentiel pour lutter contre la propagation du virus et revenir à une vie plus normale.
Mais, est-ce la seule solution, toute action prise dans l’urgence génère des doutes!